A +
Actualité publiée le 03/10/2017
« Jamais je ne t’appartiendrais » : Tel est le message que Fergie de son regard captivant et étincelant semblait nous dire. Il pouvait vous sonder l’âme en un rien de temps.
« Tu ne feras jamais de moi ce que tu voudras. » : C’est vrai ma p’tite Fergie. Tu étais un véritable électron libre. Ta cuirasse noire et luisante comme le chaudron du diable, tes os renforcés en carbone faisaient de toi une vaillante guerrière aussi résistante qu’un clou de cercueil.
« Tu ne feras jamais de moi ce que tu voudras. » : C’est vrai ma p’tite Fergie. Tu étais un véritable électron libre. Ta cuirasse noire et luisante comme le chaudron du diable, tes os renforcés en carbone faisaient de toi une vaillante guerrière aussi résistante qu’un clou de cercueil.
Ma p’tite Fergie, dans tes yeux ambrés, une étincelle. Une sorte d’éclair d’impétuosité. Cette étincelle, tu en as fait une flamme. Cette flamme, tu en as fait un feu. Et ce feu, tu en as fait un incendie féroce parfois hors de contrôle.
F comme Fergie
Fergie comme furtive
Fugace
Fugitive
Fulgurante
Famille
Foudroyante
Féline
Foggia
Fous leur la paix
Fiable à 200%
Folie douce
Fidèle comme un fila
Furieusement intelligente
Fuck them all
Fous ton p’tit bordel (laisse, laisse-moi foutre mon p’tit bordel)
Férocement intelligente
Foutue chienne de vie
Fous toute l’île à feu et à sang
Fergie comme furtive
Fugace
Fugitive
Fulgurante
Famille
Foudroyante
Féline
Foggia
Fous leur la paix
Fiable à 200%
Folie douce
Fidèle comme un fila
Furieusement intelligente
Fuck them all
Fous ton p’tit bordel (laisse, laisse-moi foutre mon p’tit bordel)
Férocement intelligente
Foutue chienne de vie
Fous toute l’île à feu et à sang
« Approche, accroche, totoche. Approche, accroche, totoche. »
Eh ! Un feu ne s’éteint jamais … il couve sous les cendres … et finit toujours par éclater …
… N-é-m-é-s-i-s …
- Amène-moi aux portes de l’enfer, je veillerais à ses gonds.
Née sur les côtes déchirées de la bretagne
D’un mère sage, je fis honneur à l’aube celte
Sous un autre hémisphère, rien je n’épargne
Et la faucheuse, que j’ai tant trahie, m’accorde une révérence,
Prélude à mon repos, devant ma dépouille svelte
Je reviendrais au printemps, les os de Lucifer dans la panse
D’un mère sage, je fis honneur à l’aube celte
Sous un autre hémisphère, rien je n’épargne
Et la faucheuse, que j’ai tant trahie, m’accorde une révérence,
Prélude à mon repos, devant ma dépouille svelte
Je reviendrais au printemps, les os de Lucifer dans la panse
- Fergie, l’enfer, c’est ici. A + ma p’tite Fergie.
De ta démarche féline, tu nous devances, c’est tout…