Des Terres Du Vieux Chêne

Des Terres Du Vieux Chêne Cane Corso

Cane Corso

A.F.C.C.

Actualité publiée le 28/05/2015

Des Terres Du Vieux Chêne - A.F.C.C.

Pendant plusieurs années, je me suis efforcé d’adopter une attitude de neutralité bienveillante face aux attaques sournoises et lancinantes de votre association.

Votre commentaire publié dans votre dernière revue est déroutant à plus d’un titre, et de toute évidence, l’exercice de mon droit de réponse vous a quelque peu irrité puisque vous mettrez au vote de la prochaine réunion de comité le transfert de mon « dossier » à un juge. Il y a un côté très revenchard derrière ce prochain délibéré : vous ne supportez pas que je me défende et vous promettez de faire feu de tout bois.

Eh bien, j’exhorte chaque membre du comité à voter en ce sens. Je l’encourage, et d’avance, je l’en remercie vivement.


Les faits que j’ai formulés dans l’exercice de mon droit de réponse sont objectifs et incontestables. L’ensemble des factures (alimentation, frais vétérinaires, …) et des événements n’est pas sujet à caution ou à interprétation. Toutefois, là encore, vous préférez instiller le doute. Ce n’est pas respectable. Un président d’association doit être au-dessus de la mêlée et ne pas attiser comme vous le faites des foyers de turbulence. Vos adhérents ne sont pas dupes…

Vous évoquez le corpus de textes législatifs que je ne pourrais prétendre ignorer. En revanche, vous paraissez bien mal renseignée sur toutes les dérogations accordées aux territoires ultramarins en la matière… De toute évidence, là encore, la vérité que l’on vous a présentée apparaît bien fragile.


En définitive, je pense qu’il serait de bon aloi que le fameux dossier que vous évoquez soit transmis à un juge. Je me ferais un plaisir de réduire en pièce les réclamations que vous détenez. Il y a quelques temps encore je privilégiais la diplomatie, le bon sens et accordais un détachement certain aux méthodes que votre association employait pour me discréditer. Etant donné que vous avez fait depuis longtemps le choix de l’attaque frontale, je ne peux que m’y résoudre et vous confirme à nouveau, si besoin était, que je ferais entendre ma voix et rendrais chaque coup. Je ne crains pas votre association. Vous avez beau être une dizaine à prendre des décisions, sans compter celles et ceux qui œuvrent dans l’ombre, vous n’impressionnez pas.

Votre revue n’est plus le simple support de communication et de promotion de votre sujet de prédilection, elle est devenue au fil du temps un ring de boxe dont les coulisses fleurent bon le sensationnalisme. Vos nouveaux fers de lance ? Le flicage et la dénonciation.

Rendez-vous donc au prochain épisode de ce feuilleton pipolistique. Ravi de mobiliser autant de monde chez vous pour une montagne qui, au final, accouchera aux forceps d’une souris, et bénies soient les cotisations des adhérents !


Votre objectif final ne sera jamais atteint.

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